Escape Fake

Escape Fake

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Déjouer les «infox»

Un jeu en ligne pour se sensibiliser aux fake news, tout en s’amusant

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La montée en puissance des IA génératives a multiplié les risques de désinformation. Pour ne pas se faire piéger, il est essentiel de développer un esprit critique. C’est là qu’intervient «Escape Fake», un jeu en ligne éducatif et ludique.

Un article de Pierre-Yves Gadina • Publié le 17 août 2024

Dans le cadre de mes recherches sur la désinformation et les efforts pour y faire face, j’ai découvert une initiative fascinante : un jeu en ligne appelé « Escape Fake ». Cette découverte m’a rappelé l’importance cruciale de l’éducation pour nos générations futures. Face à l’inondation de fausses informations, il devient essentiel de doter les jeunes des outils nécessaires pour distinguer le vrai du faux. L’éducation joue un rôle fondamental dans cette lutte, en formant des esprits critiques capables de naviguer dans un monde où la vérité est souvent brouillée.

Un jeu pour un enjeu sociétal

Dans un monde où la désinformation peut avoir des conséquences graves, « Escape Fake » propose un escape game virtuel pour apprendre à détecter les fake news. En incarnant un stagiaire dans un journal, les joueurs doivent vérifier des informations provenant de divers médias numériques.

Un objectif éducatif et ludique

Le jeu allie réflexion et plaisir en proposant de résoudre des énigmes tout en formant les jeunes à la vérification des faits. Accessible à tous, « Escape Fake » est un outil précieux pour sensibiliser aux dangers des infox.

Teste tes connaissances !

Prêt à relever le défi ?

Le jeu te plonge dans l’univers des fake news qui circulent chaque jour sur le web. Mets tes connaissances à l’épreuve et découvre si tu es capable de démêler le vrai du faux comme un pro. Alors, t’oses tenter l’expérience 

Escape Fake logo
Escape Fake screen jeu en ligne

Publics et Territoires Ciblés

Le projet s’adresse principalement aux jeunes de 10 à 18 ans, mais vise aussi à sensibiliser les adultes, souvent impliqués dans la diffusion de fake news. La plateforme est utilisable partout en France, que ce soit dans les écoles, centres sociaux ou maisons de quartier.

Trame Narrative

Le joueur incarne un journaliste devant vérifier des informations fournies par une source anonyme avant de les diffuser. Sans contrainte de temps, il utilise des outils de vérification pour s’assurer de la véracité des contenus avant de présenter son flash info, avec une option de diffusion via webcam.

Format et Mécanique de Jeu

La plateforme imite les réseaux sociaux populaires (Instagram, TikTok, etc.) pour engager les adolescents avec des contenus originaux, dans une interface semblable à Instagram.

Fake News LIVE AMI Digital L’Écho numérique

Pour prolonger la réflexion

La propension de l’IA générative à propager la désinformation est exponentielle.

Avec l’essor des IA génératives, la production de contenus trompeurs devient de plus en plus facile. Il est donc crucial de rester vigilant et de renforcer ses compétences critiques face à la désinformation.

Pour nous aider dans cette tâche parfois ardue, voici quelques sites utiles dont la vocation est de lutter contres les «hoaxes» et autres théories du complot.

NewsGuard

DE FACTO
Observatoire dédié à la qualité de l’information.

Il rassemble des chercheurs, des journalistes, et des professionnels de l’éducation aux médias. DE FACTO fournit des outils de fact-checking, des analyses sur les pratiques informationnelles, et promeut la diversité du débat public, essentiel pour contrer la désinformation​.

NewsGuard

News Guard
La transparence, c’est la confiance.

Service d’évalue la crédibilité des sites d’information en ligne. Leur mission est d’aider les internautes à distinguer les sources d’information fiables des sites qui diffusent de la désinformation ou des fake news. NewsGuard utilise une équipe de journalistes expérimentés pour analyser les sites web selon des critères transparents et rigoureux. Chaque site reçoit une note et un rapport détaillé expliquant la décision, ce qui permet aux utilisateurs de faire des choix informés lorsqu’ils consultent des actualités en ligne. NewsGuard propose également des extensions de navigateur et des applications mobiles pour intégrer ces évaluations directement dans l’expérience de navigation des utilisateurs.

NewsGuard

ODIL
Observatoire des Initiatives de Lutte contre la Désinformation

Cette plateforme recense et valorise les initiatives francophones qui luttent contre la désinformation. Elle propose un répertoire complet d’actions et de projets déployés à travers le monde francophone, offrant des ressources pédagogiques, des articles scientifiques, et des formations pour les professionnels et le grand public​.

NewsGuard

Fondation Descartes
Infomation Confiance Démocratie

Cette organisation se consacre à la promotion d’une information sincère et à la lutte contre les fake news. Elle propose une cartographie des acteurs engagés dans ce combat en France, en Europe, et dans le monde. La Fondation met également à disposition des rapports, des synthèses et des événements pour sensibiliser le public à ces enjeux​.

NewsGuard

C’est vrai ça ?
Initiative citoyenne indépendante qui réunit de simples particuliers animés par l’envie de lutter contre les fake news

Le collectif est actif sur les réseaux sociaux et se consacre à la lutte contre la désinformation en ligne. Ses membres bénévoles vérifient les informations circulant sur les réseaux sociaux et publient des contenus visant à démystifier les fake news, en particulier celles qui touchent des sujets d’actualité ou des théories du complot. Leurs publications sont généralement courtes, percutantes, et souvent accompagnées de visuels qui rendent l’information accessible et facilement partageable. Ils s’efforcent de sensibiliser les internautes à l’importance de la vérification des faits avant de partager des informations, contribuant ainsi à la diffusion d’une information plus fiable et vérifiée.

Retrouve-les sur les réseaux sociaux:

Nous sommes des humains

Nous sommes des humains

Nous sommes des humains

«Je ne suis pas un numéro…»

Derrière chaque site web et chaque application, se cachent des personnes, pas des robots.

Valorisons l’humain dans un monde numérique !

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Avez-vous, dans vos logs, une erreur 404 récurrente indiquant un fichier «humans.txt» manquant ?

Ce fichier mystérieux, c’est bien plus qu’une tendance geek: c’est un rappel que derrière chaque ligne de code, chaque pixel, il y a des humains.

Les concepteurs et les développeurs — souvent perçus comme des extra-terrestres — sont des créateurs à part entière. Créer un fichier humans.txt sur son site, c’est affirmer son humanité dans un monde qui se digitalise de plus en plus. Ce fichier met en lumière ceux qui façonnent le web, rappelant que la technologie est avant tout une aventure humaine.

Un article de Pierre-Yves Gadina • Publié le 17 août 2024

Loris Un témoignage poignant Tutovidéo easyswap

On devrait l’affirmer, non? Et si nous reconnaissions notre travail, non seulement dans le code, mais aussi à travers ce simple fichier, symbolisant notre contribution collective?

La plupart des professionnels du SEO connaissent le fichier robots.txt, qui indique aux moteurs de recherche quelles pages peuvent être explorées et indexées.

Mais qu’en est-il du fichier humans.txt ?

Ce que vous devez savoir sur ce fichier

Le fichier humans.txt est un simple fichier texte, généralement situé à la racine de votre site web. Il ne suit aucun format spécifique et n’affecte pas le SEO. Son but ? Rendre hommage aux personnes qui ont contribué à la création du site, à la manière des crédits à la fin d’un film. Ce fichier met en avant les humains derrière le contenu numérique, soulignant que ce sont eux, et non les robots, qui en sont les principaux consommateurs.

L’impact du fichier humans.txt sur le SEO

En réalité, ce fichier n’a pas d’impact significatif sur le référencement. Il s’agit plutôt d’une touche personnelle pour reconnaître le travail des designers, développeurs, rédacteurs et autres contributeurs d’un site web.

Les gens consultent-ils ce fichier ?

Oui, certains le font, bien que vous ne puissiez pas le suivre avec des outils d’analyse classiques comme Google Analytics. Pour voir si le fichier est consulté, il faut vérifier les journaux d’accès de votre serveur.

«Signer son code, est une façon élégante de revendiquer sa créativité et l’intelligence humaine derrière le projet, créditer ses coéquipiers et citer ses sources.»

— Gad Lab

«Don’t Make Me Think», écrit par le designer Steve Krug

Site officiel · «We are people. Not machine.»

Valorisons l’humain dans le monde numérique.

Défis et promesses de l’IA

Défis et promesses de l’IA

Défis et promesses de l’IA

Les IA servent-elles l’humanité?

Équilibrer l’innovation technologique et les valeurs humanistes dans l’ère de l’Iintelligence Artificielle…

Comment l’intelligence artificielle transforme les entreprises et la société.

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Une orientation stratégique des conséquences sociales est-elle possible?

À l’ère du progrès technologique, l’intelligence artificielle (IA) se révèle être une force motrice devenue incontournable. Cette irrépressible poussée de la technologie impacte fortement nos comportements et notre façon de concevoir le monde professionnel.

De la gestion de données massives à l’automatisation des processus, l’IA redéfinit les opérations d’entreprises de toutes tailles. Cette révolution apporte une efficacité accrue, des décisions plus informées, et ouvre la voie à des innovations inédites.

Un article de Pierre-Yves Gadina • Publié le 7 février 2024

Loris Un témoignage poignant Tutovidéo easyswap

Pourquoi l’expérience humaine est plus cruciale que jamais?

Dans un monde où l’intelligence artificielle (IA) et l’automatisation gagnent du terrain dans le milieu professionnel, une question se pose : quelle place reste-t-il pour l’expérience et l’expertise humaines, en particulier pour les professionnels ayant acquis des décennies de savoir-faire ?

L’évolution technologique a toujours été un moteur de changement dans le milieu professionnel. Aujourd’hui, avec l’avènement de l’IA, nous assistons à une transformation sans précédent. Cependant, cette révolution numérique ne devrait pas nous faire oublier la valeur inestimable de l’expérience humaine.

L’expertise que nous acquérons dans nos activités, au fil des années, est un trésor inestimable. Les professionnels expérimentés possèdent une compréhension profonde des nuances de nos métiers, une capacité à résoudre des problèmes complexes et une connaissance intuitive des dynamiques de fonctionnement.

Ces compétences ne sont pas facilement remplaçables, même par les algorithmes les plus avancés.

L’IA peut traiter et analyser des données à une vitesse et une précision vertigineuse et inégalée, mais elle ne peut pas remplacer le jugement humain, la pensée critique et la créativité. En réalité, l’IA fonctionne mieux lorsqu’elle est guidée et gérée par une «intelligence naturelle», celle des experts.

Sur le marché actuel du travail, marqué par une technologie en constante évolution, on peut regretter l’observation de la montée d’un modèle, basé sur le «jeunisme» , ne laissant que peu de place aux personnes dont la carrière est au firmament… Mais alors, que fait-on de cette inestimable expérience humaine que représentent les travailleurs qui ont plus de 25 ans de carrière? Il me semble crucial aujourd’hui de reconnaître la solide combinaison que forme la connaissance humaine empirique, doublée d’un savoir-être personnel, forgé par des années d’expérience professionnelle. Ces professionnels expérimentés, ayant développé une acuité sociologique et une sensibilité éthique au fil des ans, sont particulièrement qualifiés pour piloter et gérer les aspects humains et éthiques de l’intelligence artificielle en entreprise.

La clé se trouve dans l’étroite complémentarité entre l’intelligence artificielle et l’expertise humaine.

L’expérience humaine permet non seulement de comprendre la mécanique et les implications de l’IA, mais aussi de saisir ses répercussions sur la dynamique de travail, la culture d’entreprise et les considérations éthiques. Une vision holistique, alliant compétences techniques et savoir-faire humain, est indispensable pour assurer une intégration harmonieuse de l’IA, tout en préservant les valeurs et l’intégrité de l’entreprise. Sans parler de la portée sociétale et éthique.

La capacité à allier ces compétences est le fruit d’une carrière riche en apprentissages et en expériences diverses. C’est cette richesse qui permet aux gens d’expérience de guider efficacement les entreprises, dans une ère où l’équilibre entre progrès technologique et considérations humaines est plus crucial que jamais.

L’ère de l’IA en entreprise ne devrait pas sonner le glas de l’expertise humaine, mais plutôt marquer le début d’une nouvelle collaboration entre l’homme et la machine.

Les entreprises qui reconnaissent et valorisent cette synergie seront les véritables leaders de demain.

Les intelligences artificielles génératives se déploient partout, avec de vastes implications dans nos quotidiens: amélioration du service client grâce à des assistants virtuels, optimisation de la chaîne logistique, prise de décision en temps réel via l’analyse prédictive, et bien d’autres encore.

Dans des domaines comme la santé, l’IA permet des diagnostics plus précis et une personnalisation des traitements inégalée. En marketing, elle offre une compréhension approfondie des consommateurs, transformant ainsi les stratégies commerciales.

Placer l’humain au cœur de cette révolution technologique est primordial.

L’IA, avec sa capacité à traiter des quantités massives de données, ne doit pas éclipser l’intelligence naturelle humaine, mais plutôt coexister en synergie avec elle. Le défi est de trouver un équilibre entre les capacités de compilation colossales de l’IA et les aptitudes inégalées de l’humain à créer de nouvelles idées, à en éprouver les émotions et ressentir les sentiments qu’elles nous procurent. L’humain sait faire preuve d’empathie contrairement à son avatar numérique.

Comment alors insérer l’intelligence naturelle humaine au sein de cette envolée high-tech ? Il s’agit de développer des systèmes d’IA qui non seulement traitent des données, mais qui sont également capables d’apprendre de l’expérience humaine et de s’adapter à des contextes sociaux et culturels variés. Cette démarche exige un engagement profond et coordonné de divers spécialistes, notamment des développeurs d’intelligence artificielle, des sociologues, des anthropologues, des philosophes, des éthiciens et des juristes. Il est essentiel de veiller à ce que cette collaboration soit inclusive, en intégrant une grande variété de secteurs de la société. L’objectif est de garantir une approche globale, humaine et équilibrée, où chaque discipline apporte son expertise unique pour adresser les enjeux complexes et multidimensionnels que représente le développement de l’intelligence artificielle.

L’avenir de la formation professionnelle est lui aussi en pleine mutation. L’introduction de l’intelligence artificielle dans les méthodes d’apprentissage pourrait révolutionner notre façon de former nos professionnels. Grâce à l’IA, il est envisageable de concevoir des programmes de formation hautement personnalisés, s’ajustant de manière flexible au rythme et aux capacités d’apprentissage de chaque individu. Cette évolution met d’ailleurs en lumière l’importance de l’apprentissage continu. Dans ce contexte, les compétences requises pour les professions sont susceptibles de connaître des changements constants, en réponse à l’émergence et à l’intégration de nouvelles technologies futures. Cela ouvre un champ de possibilités très large quant aux méthodes et aux parcours d’apprentissage, offrant une vaste gamme d’opportunités pour les apprenants de tous les secteurs. Mais saurons-nous donner une bonne orientation à ce champs des possibles?

Une préoccupation majeure demeure : comment faire en sorte que les bienfaits de l’IA profitent à toute l’humanité, et non à une élite ? La clé réside dans des politiques équitables et inclusives, garantissant un accès égal à la technologie et à la formation nécessaire pour l’exploiter.

Depuis les années 1950, l’évolution technologique est souvent perçue comme une promesse de progrès, contribuant à libérer les individus des tâches laborieuses et répétitives, ouvrant ainsi l’accès à davantage de loisirs et à un enrichissement personnel. Cette vision des choses a largement contribué à l’acceptation de l’émergence technologique dans nos quotidiens. Dans le contexte actuel, marqué par cet avènement de l’intelligence artificielle, nous nous trouvons au moment critique, où la direction prise va définir l’avenir de notre société. Cet enjeu soulève des questions fondamentales sur la nature du progrès et son rôle dans l’épanouissement humain. Pour réaliser pleinement la promesse d’un progrès technologique bénéfique, une réflexion et une organisation méticuleuses sont nécessaires. Cela exige une redéfinition de nos systèmes éducatifs, de travail et sociaux, en tenant compte des impératifs éthiques et moraux. L’objectif est d’assurer que l’intelligence artificielle soit au service du bien commun, contribuant ainsi à un développement qui soit non seulement technologiquement avancé, mais aussi éthiquement responsable et durable.

L’IA, en révolutionnant le monde du travail, nous confronte à des défis et des opportunités sans précédent. Sa croissance et son intégration doivent être menées avec une vision humaniste, garantissant que la technologie enrichisse la vie de chacun et ne crée pas un fossé grandissant entre les privilégiés et le reste de la société.

L’introduction de l’IA dans le monde du travail représente un tournant majeur, apportant à la fois des défis et des opportunités inédits. Il est donc impératif que son développement et son intégration soient guidés par des principes humanistes et éthiques. Cela implique une attention particulière pour s’assurer que cette technologie contribue positivement à la vie de tous, plutôt que d’exacerber les inégalités déja existantes. Il est essentiel d’adopter une approche équilibrée et inclusive, visant à prévenir un accroissement du fossé entre les individus disposant d’un accès privilégié aux nouvelles technologies et ceux qui en sont marginalisés. En somme, il s’agit de garantir que l’IA serve l’intérêt général et favorise une société plus équitable et plus juste.

C’est uniquement en mettant l’homme au centre de l’évolution technologique que tout un chacun bénéficiera des avantages que prétend offrir l’intelligence artificielle à la société.

«Don’t Make Me Think», écrit par le designer Steve Krug

Chat GPT · Open AI

A l’origine, une idée ( pas si ) folle…

ChatGPT est un des premiers modèles de langage avancé développé par OpenAI, une organisation pionnière dans l’intelligence artificielle.

Conçu pour comprendre et générer du texte, ChatGPT est capable de mener des conversations naturelles, de répondre à des questions, et d’assister dans diverses tâches de rédaction.

«Don’t Make Me Think», écrit par le designer Steve Krug

There’s An AI For That

Trouve chaussure à ton pied…

Le nom du site, litérallement «Il y a une intelligence artificielle pour ça», propose un index de toutes les IA répertoriées à ce jour.

Guide incontournable pour explorer et adopter les meilleures solutions d’intelligence artificielle. Que tu cherches à optimiser tes processus, à créer du contenu innovant ou à améliorer ton marketing organique, ce site te connecte avec les outils AI parfaits pour répondre à tes besoins.

Simplifiez ta recherche 🙂

Comment rester connecté sans sacrifier la planète ?

Comment rester connecté sans sacrifier la planète ?

Comment rester connecté sans sacrifier la planète ?

Entre innovation et responsabilité…

Comment concilier nos envies technologiques avec les impératifs écologiques?

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Dans un monde où la technologie avance à pas de géant, notre passion pour les gadgets dernier cri nous place face à un dilemme de taille : comment rester connecté sans nuire à la planète ? Cet article explore les défis de l’ère numérique, où le désir d’innovation se heurte aux exigences écologiques. Il invite à une réflexion sur la nécessité de repenser notre rapport à la technologie, pour un futur où progrès et durabilité ne sont plus en opposition.

Un article de Pierre-Yves Gadina • Publié le 7 février 2024

Loris Un témoignage poignant Tutovidéo easyswap

Imaginez : vous suivez un régime pour prendre soin de votre santé, mais votre frigo est rempli de gâteaux au chocolat, disponibles 24h/24… Frustrant, non ?

D’un côté, on vous dit d’être éco-responsable, de penser à la planète avant de cliquer sur « ajouter au panier » pour le dernier smartphone, tellement mieux que ses prédécesseurs. Et de l’autre — bam ! — une pub attire votre attention pour la dernière tablette ultra HD. C’est un peu comme choisir entre rester fidèle à votre vieille paire de baskets confortables et craquer pour les dernières chaussures à la mode qui vous appellent. Nous savons que nous ne pouvons pas tout avoir, mais cela ne nous empêche pas de rêver, n’est-ce pas ?

À l’ère numérique, nous sommes pris dans une danse étrange, déchirés entre l’appel à sauver la planète et notre amour inconditionnel pour les derniers gadgets technologiques. C’est comme essayer de suivre un régime tout en travaillant dans une chocolaterie – une douce et amère torture. D’un côté, on nous conseille de réduire notre empreinte carbone, et de l’autre, nous sommes bombardés de publicités pour le dernier smartphone. Un double piège qui nous rend fous et pousse les jeunes générations à une critique sévère de la société de consommation, tout en les maintenant prisonnières de leurs smartphones avec des pièges à clics…

Un tableau assez parlant, n’est-ce pas? Une pensée désabusée, teintée de sarcasme, fait penser à l’album du dessinateur Reiser : «On vit une époque formidable…»

Dans un monde où la technologie façonne chaque aspect de notre vie quotidienne, l’appel à une «détox digitale» ressemble à une tentative de réconciliation avec notre environnement. Mais est-il nécessaire de se déconnecter pour protéger la planète ? À cet égard, le projet GR491 propose une alternative : rester connecté de manière responsable. À travers ses recommandations, il démontre qu’une utilisation éthique et éco-responsable de la technologie est possible. En mettant en lumière les enjeux de ces pratiques, l’article vise à encourager la prise de conscience : il est possible de concilier progrès technologique et préservation de l’environnement. La clé réside dans des choix éclairés, dans la conception et la consommation réfléchies de produits numériques pour minimiser notre impact écologique, tout en répondant à nos besoins de connectivité. Ce faisant, nous nous libérons de la culpabilité, naviguant vers un avenir où technologie et écologie coexistent harmonieusement.

Et nous, les professionnels engagés dans cette course frénétique pour sortir le gadget le plus brillant, la situation actuelle nous invite à la réflexion suivante : pensons à la planète avant de lancer notre prochain gadget révolutionnaire. C’est un peu le régime que vous ne voulez pas suivre, mais qui est bon pour notre santé numérique. Optimisons l’efficacité énergétique de nos applications dans nos projets respectifs comme nous le ferions pour notre consommation quotidienne de café : un plaisir indispensable, mais modéré. Et qu’en est-il de l’accessibilité ? Comment inclure les moins fortunés ou les personnes en situation de handicap ? Assurons-nous que chacun puisse profiter de la fabuleuse opportunité offerte par le monde numérique, pas seulement l’élite connectée et aisée. Sérieusement, appliquons ces recommandations ! Et qui sait ? Peut-être que nos prochaines créations feront de nous les héros acclamés de la technologie durable ?

Le projet GR491 nous offre, à nous les « pros », un guide pratique qui aborde toutes ces questions fondamentales et propose des voies vraiment intéressantes à travers 8 familles de recommandations, que nous devons absolument considérer dans tout projet technologique digne de ce nom.

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GR491 | 8 Familles · 61 recommandations · 516 critères

Bienvenue sur le GR491, le Guide de Référence de Conception Responsable de Services Numériques créé par l’INR.

Visiter le site du projet GR491.

Pour un virage numérique réussi

Pour un virage numérique réussi

Pour un virage numérique réussi

Transformons le digital en un allié

Découvrez comment Gad Lab transforme les défis numériques en leviers de réussite, tout en restant fidèle à l’essence de votre métier

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Chaque nouveau défi, dans ce tumulte incessant de l’univers connecté, est une opportunité unique pour votre entreprise.

AMI Digital vous guide à travers les complexités du monde numérique, en transformant les obstacles en solutions concrètes et taillées sur mesure, pour propulser votre entreprise vers le sommet.

Un article de Pierre-Yves Gadina • Publié le 25 janvier 2024

Chaque nouveau défi, dans ce tumulte incessant de cet univers virtuel, est une opportunité unique pour votre entreprise. Gad Lab vous guide à travers les complexités du monde digital, en transformant les obstacles en solutions concrètes et taillées sur mesure, pour propulser votre entreprise vers le sommet.

Imaginez un facilitateur, un artisan du numérique qui comprend le cœur de votre métier aussi finement que vous. Mon objectif ? Vous guider à travers le labyrinthe digital avec une aisance et une précision qui redonnent au travail son plaisir premier. Je suis l’architecte de votre transition numérique, celle qui réconcilie efficacité et gain de temps avec l’essence même de votre activité.

Chaque clic, chaque ligne de code, chaque interface utilisateur est soigneusement conçu pour que votre entreprise ne se contente pas de suivre le rythme, mais de le définir. Ensemble, nous bâtirons un écosystème digital où l’innovation n’est pas qu’un fantasme, mais une réalité palpable, une force motrice derrière chaque décision, chaque stratégie.

Reprenez le contrôle de votre trajectoire numérique. Redécouvrez le plaisir d’un travail où chaque outil, chaque processus, est pensé pour vous libérer du superflu et vous focaliser sur ce qui compte vraiment : votre passion, votre vision, votre succès.

Pour un virage numérique réussi, faites le choix d’un partenariat qui allie vision, expertise et une touche d’originalité. Car, dans ce voyage numérique, ce n’est pas seulement votre entreprise qui se transforme, c’est tout un avenir de possibilités qui s’ouvre devant vous.

▶️ Osez le changement

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La Puissance de la Simplicité

La Puissance de la Simplicité

La Puissance de la Simplicité

Le design au sevice de la fonction

L’expérience utilisateur ( UX / UI )

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Parce qu’aujourd’hui l’apparence joue un rôle essentiel dans notre monde occidental, vivre dans la simplicité est devenu… compliqué.

Synonyme de sobriété, la simplicité n’autorise aucun faux-semblant, ni d’artifices ou d’ambition démesurée. Elle doit être d’abord celle de notre pensée. Le bon sens, la sincérité et l’humilité sont nos guides pour chasser les tentations de l’inutile, de la sophistication ou du «trend» à la mode. En ne retenant que l’essentiel, en se libérant de tout subterfuge, la simplicité devient généreuse en offrant en retour la beauté et le bien-être.

Un article de Pierre-Yves Gadina • Publié le 7 février 2024

Loris Un témoignage poignant Tutovidéo easyswap

«La simplicité est la réussite absolue. Après avoir joué beaucoup de notes, toujours plus de notes, c’est la simplicité qui émerge comme une récompense venant couronner l’art.»

— Frédéric Chopin

Dans mon métier d’architecte en expérience utilisateur (UX), cette notion me sert de référence de base dans toutes mes décisions visuelles: «Est-ce assez simple pour être compris sans explication?»…
Deux livres importants ont marqué mon apprentissage et constituent le fondement de ma passion pour le design et notamment le «Low-Tech». Je recommande vivement la lecture de deux livres essentiels: «Don’t Make Me Think», écrit par le designer Steve Krug et «The Laws of Simplicity», par le chercheur et professeur John Maeda.

Bien que Krug et Maeda aient des parcours différents, leurs œuvres respectives présentent des corrélations significatives, notamment en ce qui concerne la simplicité, l’expérience utilisateur et la fusion du design avec la technologie. Ils ont tous deux influencé la façon dont les professionnels et les entreprises envisagent et mettent en œuvre le design dans le monde numérique.

«La simplicité est l’harmonie parfaite entre le beau, l’utile et le juste»

— Franck Lloyd Wright

Simplicité et Clarté : Les deux mettent l’accent sur l’importance de la simplicité dans le design. Krug, avec son célèbre adage «Don’t Make Me Think», suggère que les interfaces doivent être intuitives et faciles à comprendre. Maeda, dans «The Laws of Simplicity», explore également la manière dont la simplicité peut être intégrée dans le design et la technologie.

Utilisateur au Centre : Ils se concentrent tous les deux sur l’importance de placer l’utilisateur au centre du processus de design. Krug insiste sur des sites web faciles à utiliser et sur la nécessité de comprendre comment les utilisateurs interagissent avec ces sites. Maeda, quant à lui, prône un design qui répond aux besoins et aux comportements des utilisateurs.

Convergence du Design et de la Technologie : Krug et Maeda reconnaissent l’importance de la technologie dans le design moderne. Tandis que Krug se concentre sur l’utilisabilité dans le contexte des interfaces numériques, Maeda explore comment le design et la technologie se croisent de manière plus large et conceptuelle.

Approche Éducative et Formatrice : Les deux ont joué des rôles éducatifs importants, que ce soit par l’enseignement (Maeda au MIT et à la RISD) ou par la rédaction de livres influents dans le domaine du design d’interface (Krug).

Innovation et Créativité : Krug et Maeda encouragent l’innovation dans leur domaine respectif. Krug avec ses méthodes pragmatiques pour améliorer l’expérience utilisateur, et Maeda avec sa vision intégrant l’art, le design et la technologie.

«La simplicité se démarque, alors que la complexité va se perdre inéxorablement dans la foule.»

— Kevin Barrett

La simplicité, on le constate, est une vertu souvent sous-estimée et qui se révèle être une force puissante, surtout dans le monde du design et de la technologie. À l’image d’Apple, qui a révolutionné l’industrie technologique avec son approche minimaliste, la simplicité est devenue un pilier de l’innovation et de l’efficacité. Cette philosophie, incarnée par des figures telles que Steve Jobs et adoptée par d’autres leaders du design comme Steve Krug et John Maeda, met en lumière l’importance de l’épure dans la conception. En éliminant le superflu, on met en valeur l’essentiel, créant des produits non seulement esthétiques mais aussi intuitifs et fonctionnels.

La simplicité, cependant, va au-delà de la seule esthétique. Elle implique une profonde compréhension des besoins de l’utilisateur, une finesse dans l’art du détail, et une collaboration harmonieuse entre différents métiers. Apple, en intégrant ces éléments, a non seulement établi un nouveau standard pour le design industriel, mais a également influencé des secteurs entiers, prouvant que la simplicité peut être synonyme de sophistication et d’efficacité.

«La simplicité est l’ultime sophistication»

— Leonardo da Vinci

Dans cet éloge de la simplicité, il est important de reconnaître qu’elle n’est pas une fin en soi, mais plutôt un moyen de parvenir à une expérience utilisateur supérieure. Les principes de clarté, de fonctionnalité et d’esthétique épurée sont des composants clés pour créer des produits et des services qui non seulement répondent aux besoins des utilisateurs, mais les anticipent et les enchantent. En définitive, la simplicité est l’essence même du génie, un pont entre la complexité de la technologie et l’élégance du design, une philosophie intemporelle qui continuera d’inspirer et de transformer le monde autour de nous.

«Don’t Make Me Think», écrit par le designer Steve Krug

«Don’t Make Me Think» · Steve Krug

A Common Sense Approach to Web Usability

Cinq ans après sa publication, avec plus de 100 000 exemplaires vendus et des traductions dans plusieurs langues, le livre de Steve Krug sur l’ergonomie Web est devenu une référence incontournable pour les professionnels du design Web. Cette deuxième édition ajoute trois nouveaux chapitres offrant des conseils pratiques et des réflexions sur :

  • L’importance de l’ergonomie dans la rétention des utilisateurs
  • L’accessibilité Web et le rôle du CSS
  • Comment gérer les demandes parfois irrationnelles des décideurs

Steve Krug propose ici des outils pour aider les designers à mieux comprendre les utilisateurs et à concevoir des sites Web plus intuitifs et accessibles. Ce livre est une lecture essentielle pour quiconque s’intéresse à la création ou à la gestion de sites Web.

«Don’t Make Me Think», écrit par le designer Steve Krug

«The Law of Simplicity» · John Maeda

Redesigning Leadership in design

Le livre présente 10 lois de la simplicité : 1) Réduire, 2) Organiser, 3) Temps, 4) Apprendre, 5) Différences, 6) Contexte, 7) Émotion, 8) Confiance, 9) Échec, et 10) L’Unique.

L’auteur prône la réduction réfléchie en utilisant les méthodes de Rétrécir, Cacher, et Incarner. Il recommande également d’organiser le design en triant, étiquetant, intégrant et en hiérarchisant les éléments. De plus, il suggère de rendre les attentes plus courtes et plus tolérables grâce à la réduction.

Le message global est que la simplicité consiste à soustraire les éléments évidents et à ajouter des éléments significatifs.

Du désespoir à l’amour…

Du désespoir à l’amour…

Du désespoir à l’amour…

Le témoignage poignant de Loris

Découvrez son incroyable parcours, marqué par la résilience et une renaissance inattendue.

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Loris Pinton vivait à Lausanne, dans un petit appartement du centre-ville. Entre son lit et sa cuisine trônait un ordinateur allumé, pilier central de sa nouvelle vie.

Il y a dix-sept ans, cet ancien maçon avait été victime d’un grave accident de voiture qui lui avait irrémédiablement sectionné la colonne vertébrale. Après 37 ans de vie active, ce père de famille s’était retrouvé dans le coma pendant deux mois et demi. À son réveil au Centre Suisse de Paraplégiques de Nottwil, le verdict avait été sans appel : il ne quitterait plus son fauteuil roulant…

Une nouvelle histoire a alors commencé…

Un article de Natalia Mottier · 17 août 2024 • Initialement publié en 2017

Loris Un témoignage poignant Tutovidéo easyswap

• Loris, comment vous êtes-vous retrouvé dans ce fauteuil?

«L’accident s’est produit le 17 avril 2007 vers 21h. A 2km de chez moi. J’ai été héliporté à Nottwil, dans l’un des meilleurs centres pour paraplégiques du monde. Là-bas, l’équipe a tout fait pour moi. Je me suis réveillé après deux mois et demi de coma. Cela a été comme une deuxième naissance. Quand je suis rentré chez moi, rien n’allait plus. Incapable de marcher et de courir, j’ai dû quitter le domicile conjugal pour retourner chez ma mère et divorcer peu de temps après. J’ai ensuite vécu 5 ans dans un foyer avec des gens qui traversaient la même épreuve que moi. Seul, abattu et sans intimité, je ne m’y suis jamais senti à ma place. Ni dans mon cœur, ni dans mon âme. J’ai tout perdu le jour de cet accident. J’étais malheureux et j’avais envie de mourir.»

• Qu’est-ce qui vous a aidé à reprendre goût à la vie?

«Grâce à Dieu, j’ai trouvé cet appartement dans lequel je suis libre désormais. Et grâce à Pierre-Yves (ndlr: formateur easyswap) j’ai repris ma vie. Je peux enfin aller de l’avant. Je ne suis pas très doué avec l’informatique, et les séquelles d’un long coma n’aident pas pour la mémoire. J’apprends lentement, je vis dans ma chambre, je me sens en dehors du monde, mais grâce à l’ordinateur et à ce que j’apprends lors de mes cours d’informatique à domicile, je suis maintenant en lien avec l’extérieur. Grâce à Facebook, j’ai des échanges presque quotidiens avec mon fils, qui a aujourd’hui 18 ans et qui vit loin de chez moi.

En rencontrant Pierre-Yves, j’ai trouvé une oreille attentive, une réelle écoute. Il a compris mon histoire, il m’a sorti de ma solitude et de mon marasme. Sans lui, je ne serais pas si heureux: il m’a redonné de l’espoir. Je suis reconnaissant. C’est rassurant de savoir que je peux compter sur lui et sur ses connaissances. Désormais, vivre sans ordinateur serait encore pire que vivre sans mes jambes, sans mes oreilles ou sans rien du tout.»

• Je crois savoir qu’une amie d’enfance a repris contact avec vous via Facebook. Avez-vous une bonne nouvelle à nous communiquer?
(Loris devient timide, baisse un peu la tête, sourit discrètement. Il semble se détendre et finit par répondre.) :

«Oui. Ma Julia* (ndlr: prénom d’emprunt). Cette fille, cette femme, qui m’a connu il y a trente ans, ma reconnu par hasard sur Facebook. Elle est venue me voir… Et une belle histoire a démarré 🙂 »

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Cet interview a été réalisé le 16 août 2017, dans le cadre du projet «Tutovidéo», une initiative de l’association «easyswap», en partenariat avec le service social de la Ville de Lausanne et de la Fondation Grumbach. Le projet visait à promouvoir l’inclusion sociale à travers l’enseignement des nouvelles technologies. Grâce à des cours informatiques gratuits dispensés à domicile, les personnes à mobilité réduite ont pu surmonter la barrière numérique, accéder plus facilement aux services en ligne, et maintenir des liens sociaux vitaux. Ces formations ont offert aux bénéficiaires une opportunité précieuse de reprendre en main leur quotidien, de rester connectés avec leurs proches, et de redécouvrir un sentiment d’indépendance.

C’est dans ce contexte, que le petit «miracle Loris» est survenu…